Après How i met, Fringe, Docteur House, Dexter, Lost, Californication, Damages, Dirt, Merlin, et j’en passe, une nouvelle série est venue s'ajouter à la longue liste de celles que je matte !
Entourage, c’est son nom, nous conduit tout droit à Hollywood, entre Beverly Hills et Californication, pour suivre la vie trépidante d’une jeune star montante du cinéma et de son… Entourage évidemment !
La série peut elle aussi se vanter d’avoir fait le choix tout comme Californication de l’interdiction moins de 12 ans, ce qui lui permet de très très mal parler et de montrer régulièrement de véritables bombes à moitié à poil. Mais heureusement là n’est pas son seul intérêt.
L’alchimie entre les personnages fait qu’on regarde la première saison histoire de se faire une idée, on suit la deuxième pour savoir où ils veulent aller et à la troisième on est bêtement accrocs…

Librement inspirée de la vie du producteur de la série, Mark Wahlberg, nous suivons le parcours de Vincent Chase et de son orchestre, apprenti beau gosse, qui vient de signer son premier film à succès et découvre le monde du cinéma hollywoodien, son frère ou demi frère, Drama on ne sait pas très bien joue le loser de la série, quadra, qui a eu sa série à succès dans les 90’s, il cite à longueur d’épisodes ses figurations douteuses dans toutes les séries, l’ami d’enfance, Eric, minuscule rouquin, à la fois manager et ex pizzaïolo, seul véritable cerveau de la troupe et enfin Turtles, gros rapper blanc, qui sert de chauffeur à la troupe.
Et comment parler de la série sans évoquer celui qui la tient l’agent de Vince Chase, Ary Gold, charretier monté sur pile, qui alterne crises de nerf et syndrome de la Tourrette, il n’insulte pas, il mitraille et ça vaut vraiment le coup d’œil !
Seul bémol de la série qui compte désormais 5 saisons, la faiblesse scénariste de l’intrigue globale, à croire que les producteurs signaient une nouvelle saison après avoir vu les scores de la précédente, chaque épisode est quasiment indépendant et les intrigues se dénouent un peu trop souvent dans la joie et la bonne humeur.
Incontestablement créer pour un public masculin, la série séduit par la frime, les grosses caisses, les bimbos et l’ambiance bande de potes qui donne envie de miser sur le plus beau gosse de ses amis…
Et comme je suis hyper sympa, je vous file le lien pour vous vous fassiez votre propre idée sur la série : le lien !
Entourage, c’est son nom, nous conduit tout droit à Hollywood, entre Beverly Hills et Californication, pour suivre la vie trépidante d’une jeune star montante du cinéma et de son… Entourage évidemment !
La série peut elle aussi se vanter d’avoir fait le choix tout comme Californication de l’interdiction moins de 12 ans, ce qui lui permet de très très mal parler et de montrer régulièrement de véritables bombes à moitié à poil. Mais heureusement là n’est pas son seul intérêt.
L’alchimie entre les personnages fait qu’on regarde la première saison histoire de se faire une idée, on suit la deuxième pour savoir où ils veulent aller et à la troisième on est bêtement accrocs…

Librement inspirée de la vie du producteur de la série, Mark Wahlberg, nous suivons le parcours de Vincent Chase et de son orchestre, apprenti beau gosse, qui vient de signer son premier film à succès et découvre le monde du cinéma hollywoodien, son frère ou demi frère, Drama on ne sait pas très bien joue le loser de la série, quadra, qui a eu sa série à succès dans les 90’s, il cite à longueur d’épisodes ses figurations douteuses dans toutes les séries, l’ami d’enfance, Eric, minuscule rouquin, à la fois manager et ex pizzaïolo, seul véritable cerveau de la troupe et enfin Turtles, gros rapper blanc, qui sert de chauffeur à la troupe.
Et comment parler de la série sans évoquer celui qui la tient l’agent de Vince Chase, Ary Gold, charretier monté sur pile, qui alterne crises de nerf et syndrome de la Tourrette, il n’insulte pas, il mitraille et ça vaut vraiment le coup d’œil !
Seul bémol de la série qui compte désormais 5 saisons, la faiblesse scénariste de l’intrigue globale, à croire que les producteurs signaient une nouvelle saison après avoir vu les scores de la précédente, chaque épisode est quasiment indépendant et les intrigues se dénouent un peu trop souvent dans la joie et la bonne humeur.
Incontestablement créer pour un public masculin, la série séduit par la frime, les grosses caisses, les bimbos et l’ambiance bande de potes qui donne envie de miser sur le plus beau gosse de ses amis…
Et comme je suis hyper sympa, je vous file le lien pour vous vous fassiez votre propre idée sur la série : le lien !
Commentaires